Encore un texte triste! Et oui je suis désolé que ça en devienne une habitude mais l'inspiration ne se
contrôle pas vraiment! Je ne suis pas concrètement concerné par les paroles que j'ai écrites mais je voulais passer un message de compréhension et aussi une sorte d'alerte.
contrôle pas vraiment! Je ne suis pas concrètement concerné par les paroles que j'ai écrites mais je voulais passer un message de compréhension et aussi une sorte d'alerte.
Il baisse le regard, détourné de l'espoir
Sa parole : le silence
Les miettes si éparses de sa vie, sans une trace...
S'envolent, sans offense
Rouge braise sont les larmes de ses veines, dans ce drame...
Un seul rôle : sa souffrance
Frêle existence sans arme, point final à sa trame
Seul en somme, il perd sa chance
Je n'suis pas de ceux
Qui ferment les yeux
Sans arrière pensée
Je n'crois pas aux cieux
Aime peu ces lieux
Un peu malaisé
Des jeunes jouent au feu
Leurs vies n'valent pas mieux
Mieux vaut perdre pied
Je n'suis pas comme eux
Comprend leurs adieux
Mais n'le ferais jamais
Elle sourit sans sourire, pense peu à l'avenir
Son présent se consume
Passé écorché vif, douleurs pleines de motifs
Elle se ment sous la lune
Un mal-être enfoui dans les eaux troubles, cette nuit...
Elle descend sous les bulles
Dernier bain de minuit, dernier souffle entrepris
Existence trop commune
Je n'suis pas de ceux
Qui ferment les yeux
Sans arrière pensée
Je n'crois pas aux cieux
Aime peu ces lieux
Un peu malaisé
Des jeunes jouent au feu
Leurs vies n'valent pas mieux
Mieux vaut perdre pied
Je n'suis pas comme eux
Comprend leurs adieux
Mais n'le ferais jamais
Deux gouttes d'eau dans un vase
Deux âmes au bien jeune âge
Deux flammes éteintes si sages
Deux souffles que l'on efface
Je n'suis pas de ceux
Qui ferment les yeux
Sans arrière pensée
Je n'crois pas aux cieux
Aime peu ces lieux
Un peu malaisé
Des jeunes jouent au feu
Leurs vies n'valent pas mieux
Mieux vaut perdre pied
Je n'suis pas comme eux
Comprend leurs adieux
Mais n'le ferais jamais
Sa parole : le silence
Les miettes si éparses de sa vie, sans une trace...
S'envolent, sans offense
Rouge braise sont les larmes de ses veines, dans ce drame...
Un seul rôle : sa souffrance
Frêle existence sans arme, point final à sa trame
Seul en somme, il perd sa chance
Je n'suis pas de ceux
Qui ferment les yeux
Sans arrière pensée
Je n'crois pas aux cieux
Aime peu ces lieux
Un peu malaisé
Des jeunes jouent au feu
Leurs vies n'valent pas mieux
Mieux vaut perdre pied
Je n'suis pas comme eux
Comprend leurs adieux
Mais n'le ferais jamais
Elle sourit sans sourire, pense peu à l'avenir
Son présent se consume
Passé écorché vif, douleurs pleines de motifs
Elle se ment sous la lune
Un mal-être enfoui dans les eaux troubles, cette nuit...
Elle descend sous les bulles
Dernier bain de minuit, dernier souffle entrepris
Existence trop commune
Je n'suis pas de ceux
Qui ferment les yeux
Sans arrière pensée
Je n'crois pas aux cieux
Aime peu ces lieux
Un peu malaisé
Des jeunes jouent au feu
Leurs vies n'valent pas mieux
Mieux vaut perdre pied
Je n'suis pas comme eux
Comprend leurs adieux
Mais n'le ferais jamais
Deux gouttes d'eau dans un vase
Deux âmes au bien jeune âge
Deux flammes éteintes si sages
Deux souffles que l'on efface
Je n'suis pas de ceux
Qui ferment les yeux
Sans arrière pensée
Je n'crois pas aux cieux
Aime peu ces lieux
Un peu malaisé
Des jeunes jouent au feu
Leurs vies n'valent pas mieux
Mieux vaut perdre pied
Je n'suis pas comme eux
Comprend leurs adieux
Mais n'le ferais jamais
© Dinendel ®