dinendel

Parcelles de vie...

Lundi 25 août 2008 à 14:15



Durant la matinée de jeudi dernier, accompagné de ma famille, j'ai visité le Parc des Félins situé à Nesles (77). Appréciant tout ce qui s'apparente aux chats, ce parc me semblait attrayant. Pour une bonne visite, il faut compter environ 2h30. Les félins sont regroupés selon leurs provenance (Europe, Amérique, Asie...). En voici deux clichés :

















En passant d'énormes tigres et lions au chat le plus petit du monde, de nombreuses espèces cohabitent au sein de de ce parc.

Mon avis général sur cette escapade : La promenade est agréable et permet de s'échapper du quotidien afin de s'immiscer dans un espace un peu plus naturel. Certaines espèces félines sont impressionnantes.
Une petite déception tout de même : La majorité des animaux dormaient tout au fond de leurs enclos lors de notre visite (mais bon on ne vas pas obliger ces pauvres félins à se réveiller pour notre bon plaisir, la vie en cage doit suffisamment être pénible comme ça).
Pour conclure, ce parc des félins est une sympathique découverte qui vaut le coup d'y faire un tour ne serait-ce qu'une fois.

Jeudi 14 août 2008 à 0:47

Nouveau film d'animation de la maison Pixar, WALL-E est un des longs métrages les plus appréciés de l'année. Enjoué par le "physique" de ce petit robot, j'ai eu la curiosité d'aller le voir. Accompagné d'une horde d'amis et de nouvelles connaissances, nous avons pu partager le plaisir de visionner ce film lundi dernier.



Synopsis :
La planète Terre est arrivée à un degré de pollution extrêmement élevé. Afin d'y remédier, la population quitte les lieux et fuit à travers l'univers à bord d'un immense vaisseau spatial. Durant leur escapade, des robots dénommés WALL-E sont envoyés sur Terre afin de la nettoyer. 700 années plus tard, nous retrouvons l'un de ces petits robots continuant seul sa mission de nettoyage. Au fil du temps, celui-ci s'est forgé une étonnante curiosité ainsi qu'un "sentiment" de profonde solitude. Lors de l'une de ses interminables journées, WALL-E va faire la connaissance d'un robot du doux nom de E.V.E, venu pour une mission secrète. La complicité de ces deux êtres de métal va croitre et ce jusqu'au fin fond de l'univers.


Plein de poésie et de bons sentiments, ce Disney est un bijou de beauté et de sensibilité. Loin des dessins animés typiques pour enfants, WALL-E nous confronte à notre futur proche d'une façon à la fois captivante, amusante, touchante et moralisante. Je tiens à dire que ce long métrage est un de mes coups de cœur. Que vous soyez un enfant ou un adulte, n'hésitez pas à aller voir ce film d'enfants pour adultes.





P.S : L'après-midi au Val d'Europe après le cinéma était extrêmement sympa! Une très bonne journée comme on en fait peu.

Mardi 12 août 2008 à 0:52

Voici de nouvelles paroles entrant dans un registre mainte fois repris. Je parle ici du sentiment de
recherche et de longue attente envers l'autre. Ca vous parait sans doute cliché mais j'ai tout de même eu l'envie de vous le faire partager :


I'm looking for you everytime
When I'm calling you, I lose my mind

Mes humeurs sonnent le glas
De mes peurs, de mon effroi
Face à ce cœur en fracas
Tournant mes heures sans droit
Mon désir de le panser
Fera fuir mon temps gâché

A tout rompre, mon cœur lacéré bat
Et ce contre un futur cœur en émoi

En te cherchant, je me trouverais
En m'écorchant, là je t'attendrais
Sans précédent, je te confierais
Les sentiments que je préservais

L'impression d'amples mensonges
Envers le creux de mes songes
Crée bien des fictions et ronge
Ce que je veux, ce qui plonge
Désormais dans une eau claire
Je souhaite ma nouvelle ère

A tout rompre, mon cœur lacéré bat
Et ce contre un futur cœur en émoi

En te cherchant, je me trouverais
En m'écorchant, là je t'attendrais
Sans précédent, je te confierais
Les sentiments que je préservais

Une riche mélodie
Ponctuée de nombreux "si"
Dont je lis sans raccourcis
Ces doubles croches et l'envie
Me vient de prétendre enfin
L'étreinte d'une autre main

A tout rompre, mon cœur lacéré bat
Et ce contre un futur cœur en émoi

En te cherchant, je me trouverais
En m'écorchant, là je t'attendrais
Sans précédent, je te confierais
Les sentiments que je préservais

I'm looking for you everytime
When I'm calling you, I lose my mind

© Dinendel ®



Petite traduction sans grande profondeur des paroles en anglais :
Je te cherche toujours
Quand je t'appelle, je deviens fou

Mercredi 6 août 2008 à 18:01

Roman de Patrick, E=MC², mon amour est pour moi une redécouverte absolue. L'ayant auparavant lu au collège (en 4ème plus précisément), il m'était intriguant de le relire 5 ans plus tard.


Voici le résumé :
Daniel a 11 ans, Lauren presque 12. Lui est issu de la banlieue Parisienne, elle est d'origine américaine et vit dans le 16ème arrondissement. Ces deux enfants à l'allure banale se révèlent être un peu plus avancés que leurs âges ne le prédit. En effet, Daniel possède une grande aisance en cours et se passionne pour le cinéma américain. Quant à Lauren, elle surpasse considérablement ses camarades de classe et s'intéresse amplement aux mathématiques et à la philosophie. Alors que leurs environnements respectifs les séparent, le hasard va faire que ces deux protagonistes vont finir par se recontrer. Cette rencontre contribuera à une idylle naissante prête à tout pour échapper au monde qui les entoure.  Comment avancer dans un monde d'adultes lorsque vous êtes emprisonnés dans un corps d'enfant?


J'ai vraiment accroché à ce roman d'une part pour le contexte et le chemin de l'intrigue et d'autre part pour la personnalité des deux protagonistes. Le cynisme de ces deux enfants face à des adultes peu compréhensifs est excellent. Je pense par la suite acheter Pythagore, je t'adore, la suite des aventures de Daniel et Lauren.

Samedi 2 août 2008 à 15:18

Le groupe féminin le plus sexy de ces dernières années est de retour sous le feu des projecteurs! Après le succès de leur premier album PCD en 2005 et 2006, les Pussycat Dolls ont décidé de remettre le couvert avec un nouvel opus intitulé Doll Domination (sortie prévue le 22 septembre). Séparé de la rousse Carmit Bachar, le  groupe se retrouve désormais à cinq. Toujours soutenues par leur fondatrice Robin Antin, les Pussycat Dolls n'ont eu de cesse de croitre : passant d'artistes de cabaret à chanteuses de R'n'B, la petite troupe a su gravir les marches de la célébrité avec beaucoup d'aisance. 2008 signe donc leur retour en force grâce au titre "When I grow up", une musique aussi pêchue qu'effrénée comme savent bien le faire les Pussycat Dolls. Nicole Scherzinger et ses acolytes vous présentent donc leur nouveau clip :




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