Je souffle, repousse l'air impure des mauvais jours
Je touche, renfloue ce flux glacé par ma flamme
Je bouge, étouffe la brume de ces vieux faubourgs
J'emmitoufle, camoufle ma fine braise d'états d'âme
Mes idées se bousculent, des tumultes sans souffle
Mon désir s'accumule, lutte pour une bribe d'air
Ma vie, mon vécu scrute l'éclaircit si flou
Mes envies imprévues s'échappent de travers
L'inspiration de ma plume n'est pas encore vaine
L'expiration de mes mots est loin, à la traîne
Une brève respiration et me voici, moi-même
Je voudrais respirer tout en continuité
Lâcher prise, oublier un peu tout ce passé
Je voudrais m'assurer une tranquillité
Une brise d'été me laissant hébété
La pollution, la ville bafouent mon oxygène
Les stations de métro s'enchaînent dans ma tête
Le quotidien si vil essouffle un peu son règne
Le chemin de mes maux avec peine s'arrête
Ce bruit s'estompera, ce vent se dissipera
Ces cumuls exploseront sans une altercation
Cette vie respirera délaissant ses tracas
Ces poumons gonfleront, tel un fier bataillon
L'inspiration de ma plume n'est pas encore vaine
L'expiration de mes mots est loin, à la traîne
Une brève respiration et me voici, moi-même
Je voudrais respirer tout en continuité
Lâcher prise, oublier un peu tout ce passé
Je voudrais m'assurer une tranquillité
Une brise d'été me laissant hébété
Je voudrais respirer tout en continuité
Lâcher prise, oublier un peu tout ce passé
Je voudrais m'assurer une tranquillité
Une brise d'été me laissant hébété
Je touche, renfloue ce flux glacé par ma flamme
Je bouge, étouffe la brume de ces vieux faubourgs
J'emmitoufle, camoufle ma fine braise d'états d'âme
Mes idées se bousculent, des tumultes sans souffle
Mon désir s'accumule, lutte pour une bribe d'air
Ma vie, mon vécu scrute l'éclaircit si flou
Mes envies imprévues s'échappent de travers
L'inspiration de ma plume n'est pas encore vaine
L'expiration de mes mots est loin, à la traîne
Une brève respiration et me voici, moi-même
Je voudrais respirer tout en continuité
Lâcher prise, oublier un peu tout ce passé
Je voudrais m'assurer une tranquillité
Une brise d'été me laissant hébété
La pollution, la ville bafouent mon oxygène
Les stations de métro s'enchaînent dans ma tête
Le quotidien si vil essouffle un peu son règne
Le chemin de mes maux avec peine s'arrête
Ce bruit s'estompera, ce vent se dissipera
Ces cumuls exploseront sans une altercation
Cette vie respirera délaissant ses tracas
Ces poumons gonfleront, tel un fier bataillon
L'inspiration de ma plume n'est pas encore vaine
L'expiration de mes mots est loin, à la traîne
Une brève respiration et me voici, moi-même
Je voudrais respirer tout en continuité
Lâcher prise, oublier un peu tout ce passé
Je voudrais m'assurer une tranquillité
Une brise d'été me laissant hébété
Je voudrais respirer tout en continuité
Lâcher prise, oublier un peu tout ce passé
Je voudrais m'assurer une tranquillité
Une brise d'été me laissant hébété
© Dinendel ®