Sous ce titre se cache un nouveau texte de ma plume. Comme l'annonce l'intitulé, j'ai tenté de mettre sur papier ce qui fait ma personne, même si ça n'a pas l'air très clair au premier abord! ^^ Je tourne assez autour du côté paradoxal de mon caractère, enfin jugez par vous-même.
Je ne pense pas être qu’un dans ce « moi » bien incertain
Tantôt empli d’un large entrain mais parfois si bon à rien
Mon esprit large et spontané est souvent prémédité
Mes amples sourires étriqués demeurent bien effacés
J’emmène en moi ces antipodes où se prélassent mes torts
Et mes qualités qui codent ce que mon « je » exporte
Bien trop calme en extérieur
Extraverti d’intérieur
Une pointe d’âme en chaleur
Malgré le gris de mes heures
J’oppose en moi ces deux cœurs
Ces mélanges de saveurs
Et sans émoi de rancœur
Je longe le creux du bonheur
Je pense sans doute être deux, indiscernable à vos yeux
L’un est un imbécile heureux et l’autre est bien plus soucieux
Une fine mélancolie voilée par la fantaisie
Des rires fréquemment servis sur un plateau peu garni
Je me cherche, je me trouve et avec verve je m’ouvre
Finement, entre deux doutes et sans arrêt sur ma route
Bien trop calme en extérieur
Extraverti d’intérieur
Une pointe d’âme en chaleur
Malgré le gris de mes heures
J’oppose en moi ces deux cœurs
Ces mélanges de saveurs
Et sans émoi de rancœur
Je longe le creux du bonheur
Je suis loin d’être si simple mais tout en restant humble
Je peux m’avouer sans crainte ma vie de milles teintes
D’une chaleur bien enneigée à cette brise d’été
D’une grande timidité à mon expressivité
Je peins de toutes les couleurs les plaintes de mes deux cœurs
Puis je fais vivre sans rancœur ce « moi », ce « je » qui demeurent
Bien trop calme en extérieur
Extraverti d’intérieur
Une pointe d’âme en chaleur
Malgré le gris de mes heures
J’oppose en moi ces deux cœurs
Ces mélanges de saveurs
Et sans émoi de rancœur
Je longe le creux du bonheur
Tantôt empli d’un large entrain mais parfois si bon à rien
Mon esprit large et spontané est souvent prémédité
Mes amples sourires étriqués demeurent bien effacés
J’emmène en moi ces antipodes où se prélassent mes torts
Et mes qualités qui codent ce que mon « je » exporte
Bien trop calme en extérieur
Extraverti d’intérieur
Une pointe d’âme en chaleur
Malgré le gris de mes heures
J’oppose en moi ces deux cœurs
Ces mélanges de saveurs
Et sans émoi de rancœur
Je longe le creux du bonheur
Je pense sans doute être deux, indiscernable à vos yeux
L’un est un imbécile heureux et l’autre est bien plus soucieux
Une fine mélancolie voilée par la fantaisie
Des rires fréquemment servis sur un plateau peu garni
Je me cherche, je me trouve et avec verve je m’ouvre
Finement, entre deux doutes et sans arrêt sur ma route
Bien trop calme en extérieur
Extraverti d’intérieur
Une pointe d’âme en chaleur
Malgré le gris de mes heures
J’oppose en moi ces deux cœurs
Ces mélanges de saveurs
Et sans émoi de rancœur
Je longe le creux du bonheur
Je suis loin d’être si simple mais tout en restant humble
Je peux m’avouer sans crainte ma vie de milles teintes
D’une chaleur bien enneigée à cette brise d’été
D’une grande timidité à mon expressivité
Je peins de toutes les couleurs les plaintes de mes deux cœurs
Puis je fais vivre sans rancœur ce « moi », ce « je » qui demeurent
Bien trop calme en extérieur
Extraverti d’intérieur
Une pointe d’âme en chaleur
Malgré le gris de mes heures
J’oppose en moi ces deux cœurs
Ces mélanges de saveurs
Et sans émoi de rancœur
Je longe le creux du bonheur
© Dinendel ®
