Depuis un bon moment, j'avais dans l'idée d'écrire un texte à partir de la mélodie de "River flows in you", du compositeur Yiruma. C'est maintenant chose faite ! J'ai exploré le thème d'une histoire naissante s'éteignant hélas à petits feux...
Je ne sais par où finir
Ce qui n’a jamais commencé
Creusant ce souvenir
Je vais m’y replonger
Banale histoire enlacée
D’une complicité futile
Des regards renfermés
Egarés, si fébriles
Mais dans l’inconnu, qu’importe la vue
Qu’importe nos sens puisqu’ils ont chacun disparu
Un rythme haletant tonnant doucement
Au creux de nos entrailles enivrées de battements
Des sourires sains, des regards sans fin
Des instants se résumant au toucher de sa main
Sans doute un début vers mes fins voulues
Sur le sentier tracé par mon mal-être entendu
De doux moments partagés
Dessinant ce trait nous liant
S’effleurer, profiter
De chaque instant présent
Malgré les désirs fuyants
Et autres pulsions sans excès
Chacun reste distant
Par pudeur et respect
Le temps s’écoulant au gré du présent
Ne laisse aucun répit à ces moments florissants
Des attentes vaines imposant la gêne
Etayant docilement ce sentiment de peine
Un acte manqué brisant l’épopée
Abrogeant ce torrent résonnant de liberté
Tout est si rapide et sans peur du vide
Chacun reprend son chemin de nouveau insipide
Depuis les heures ont filé
Le long des lendemains tranquilles
Qu’importe mes pensées
J’avance sur mon île
Je peux maintenant finir
Ce qui a si peu commencé
Affirmant sans faillir
Ne pas l'avoir aimé
Ce qui n’a jamais commencé
Creusant ce souvenir
Je vais m’y replonger
Banale histoire enlacée
D’une complicité futile
Des regards renfermés
Egarés, si fébriles
Mais dans l’inconnu, qu’importe la vue
Qu’importe nos sens puisqu’ils ont chacun disparu
Un rythme haletant tonnant doucement
Au creux de nos entrailles enivrées de battements
Des sourires sains, des regards sans fin
Des instants se résumant au toucher de sa main
Sans doute un début vers mes fins voulues
Sur le sentier tracé par mon mal-être entendu
De doux moments partagés
Dessinant ce trait nous liant
S’effleurer, profiter
De chaque instant présent
Malgré les désirs fuyants
Et autres pulsions sans excès
Chacun reste distant
Par pudeur et respect
Le temps s’écoulant au gré du présent
Ne laisse aucun répit à ces moments florissants
Des attentes vaines imposant la gêne
Etayant docilement ce sentiment de peine
Un acte manqué brisant l’épopée
Abrogeant ce torrent résonnant de liberté
Tout est si rapide et sans peur du vide
Chacun reprend son chemin de nouveau insipide
Depuis les heures ont filé
Le long des lendemains tranquilles
Qu’importe mes pensées
J’avance sur mon île
Je peux maintenant finir
Ce qui a si peu commencé
Affirmant sans faillir
Ne pas l'avoir aimé
© Dinendel ®