dinendel

Parcelles de vie...

Dimanche 20 juin 2010 à 23:11

Oui, le couperet est tombé : J'ai été licencié... Et oui, j'ai eu ma Licence Informatique (Humour) ! En effet, vendredi, je suis allé voir les résultats de mon dernier semestre et j'ai pu constater que je l'avais entièrement validé avec une moyenne générale de 11.98/20. J'ai vraiment été surpris de valider chacune des UE. C'était très loin d'être gagné au début. Mais bon, à force de travailler régulièrement, les notes du contrôle continu m'ont permis de rattraper certaines notes d'examens pas très réjouissantes. 
 
En sachant qu'à la fac, nous ne sommes pas vraiment informés de grand chose, je voulais avoir l'assurance que j'avais bien obtenu mon diplôme. A mon grand soulagement, ils avaient ajouté une liste d'admis à la Licence Informatique juste à côté de celle des résultats (Bien évidemment, mon nom y était inscrit). Je suis enfin récompensé de ces trois années de dur labeur ! ^^

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En guise de récompense, mes parents m'ont offert un nouvel ordinateur portable (En sachant que l'ancien avait rendu l'âme, il y a près d'un mois). C'est un Asus X72J de 17 pouces. La mémoire vive fait 4 Go et le disque dur, 500 Go. Il est de couleur noire et légèrement brillant sur le dessus. Bref, il est simple, sobre et fonctionnel. Je n'ai pas trouvé de photo exacte de ce modèle sur internet donc faites fonctionner votre imagination ! ^^

 
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Maintenant que j'ai ma licence en poche, j'attends une réponse à mes candidatures en Master Informatique. J'espère avoir une réponse positive de la part de l'Université de Marne-la-Vallée. Je suis allé y faire un tour après avoir été vérifier mes résultats et je pense que ça me ferait du bien de changer d'emplacement (Surtout que je préfère ce qu'ils proposent).

Bon et bien, je suis désormais en vacances ! Bonne chance à ceux qui n'ont pas terminé leurs cours ou qui ont des épreuves à venir !

Lundi 31 mai 2010 à 16:39

Rangées bien en sûreté au fond de mon tiroir depuis plus de deux mois, mes sésames pour le Monster Ball ont enfin pu revoir la lumière du jour samedi 22 mai.
 
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Arrivés à Bercy aux alentours de 18h, quelques peu maquillés pour l'occasion, Lucile et moi nous faisons interviewer cinq minutes pour le Grand Journal. Après avoir digéré nos sandwichs, nous entrons enfin dans l'antre du Palais Omnisport. Notre excitation est palpable, mais nous sommes bien trop occupés à batailler avec nos bouteilles d'eau séparées de leurs bouchons pour courir et sauter partout. Puisque ce n'est pas tous les jours que nous allons voir Lady GaGa en concert, nous décidons de nous acheter des T-Shirts à son effigie (30€ l'unité, ça fait mal...). Bien installés dans les gradins, nous attendons patiemment que le spectacle commence.


A 19h30, les Semi Precious Weapons (en première partie de GaGa) commencent à jouer. Dans un univers Glam/Rock bien décalé, le groupe chauffe la salle avec entrain. Au bout de 30 minutes, ils s'éclipsent et nous laissent attendre notre Lady avec quelques chansons de Michael Jackson en guise de fond sonore.


A 20h40, les lumières s'éteignent, les gens se mettent à hurler, puis une immense projection apparait sur le rideau cachant la scène. Soudain, après un décompte à rendre hystérique la totalité des spectateurs, apparait l'ombre de Lady GaGa entonnant la première chanson de la soirée : Dance in the dark.
Le rideau se lève enfin, laissant place à un décor nous plongeant dans un coin de rue New-Yorkais débordant d'enseignes lumineuses où une voiture verte flashy se trouve en panne. C'est alors que GaGa, accoutrée d'une veste à hautes épaulettes et de lunettes violettes brillantes, entame une chanson encore inconnue de son répertoire : Glitter and Grease. Tentant de découvrir la cause de cette panne, GaGa ouvre le capot de son engin et y laisse découvrir un synthétiseur. Jouant quelques notes, on se rend vite compte qu'elle introduit la mélodie de son premier succès : Just Dance. Le public se met alors à chanter (ou hurler) et danser sans le moindre complexe. S'ensuit d'un Beautiful Dirty Rich chanté au sein d'échafaudages ultra-lumineux. Amoureuse de la ville de New-York, GaGa nous propose le titre très pêchu intitulé Vanity. Après une énergique chorégraphie, elle s'éclipse quelques instants pour revenir avec un imposant costume rouge à larges épaulettes (plus imposantes que les premières) et nous interpréter The Fame. La chanson clôt le premier tableau de son concert.

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Après un interlude, nous retrouvons GaGa accoutrée d'un habit de none futuriste à bord d'un wagon de métro. Ne pouvant plus se déplacer en voiture, elle a en effet décidé d'emprunter les transports en commun. Empoignant son fameux Disco Stick, elle nous offre son tube LoveGame et nous invite à danser sans retenue. Cherchant désespérément le chemin menant au Monster Ball, lieu où tous les gens, quels qu'ils soient, peuvent proclamer haut et fort leur liberté, elle demande l'aide de ses Gay Boys (et chante par conséquent sa chanson Boys Boys Boys). Disparaissant à nouveau, elle nous revient, habillée d'un long manteau noir, d'une Keytar en bandoulière (un clavier se portant comme une guitare) et entonne Money, Honey. Laissant de côté son manteau, elle se dévoile en sous-vêtements cloutés et fait mine de téléphoner à Beyoncé. Le public n'échappe pas à la frénésie que GaGa offre lors de sa prestation sur Telephone.

Vient maintenant le moment acoustique de la soirée où GaGa apparaît allongée sur un piano et nous offre deux titres : Brown Eyes et l'émouvant Speechless. Le public reprend d'ailleurs le refrain a cappella.

Soudain emportée par une tornade, GaGa nous laisse en haleine avant de réapparaitre dans une impressionnante robe blanche dont certains éléments sont commandés à distance. Soudainement soulevée à une dizaine de mètres sur une plateforme, elle nous chante son très joli titre So happy I could die.

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Nous nous retrouvons par la suite dans un Central Park sombre et inquiétant. Un interlude nous fait patienter avant de retrouver notre Lady cachée derrière un énorme costume fait de poils blancs. Elle entame alors sa chanson Monster. Au milieu du titre, elle abandonne son encombrant costume pour ressurgir de nulle part habillée d'un body noir et couverte de sang. Elle nous chante alors Teeth. Elle s'amuse d'ailleurs à prolonger la chanson à coups de "Show me your teeth!" ponctuels. Apparait alors, au milieu du parc, une fontaine de sang où GaGa se purifie en interprétant Alejandro.

L'obscurité s'installe alors dans la salle, puis, après quelques minutes d'impatience, le public se met à hurler en entendant résonner des "Ma ma ma ma". GaGa arrive alors sur scène, vêtue d’une combinaison pailletée  et entonne Poker Face, faisant bouillir le public à son paroxysme. Cherchant toujours son chemin vers le Monster Ball, elle se retrouve face à un énorme monstre marin tentaculaire. Habillée d'une robe verte féérique, elle tente de vaincre la bête à coups de caresses suggestives et de soutien-gorge explosif au son de Paparazzi.


Enfin arrivée à bon port, GaGa termine son show au centre d'une sphère composée d’arceaux mouvants, accoutrée d'un body métallique, où elle nous chante (tout d'abord a capella) son immense tube Bad Romance. Le concert se termine sur une standing ovation.

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Petite information supplémentaire : les interludes sont dans une optique plutôt avant-gardiste. Lady GaGa se met en scène dans des tableaux assez marginaux exprimant les thèmes récurrents de son show : la renommée, la liberté, la confiance en soi, le fait de ne pas succomber face aux attaques et critiques alentours (enfin, d'après ce que j'ai compris, chacun peut y aller de son interprétation ^^) etc... De plus, GaGa est, contrairement à ce que l’on pourrait penser, assez proche du public. Elle prend du temps pour discuter dans un franglais plutôt amusant afin de tisser un lien avec ses orateurs.


Il est près de 23h, nous avons quelques courbatures, des étoiles dans les yeux et des souvenirs plein la tête. Pour un avis un peu plus personnel, je peux affirmer avoir passé un moment inimaginable. Mes oreilles et mes yeux ont été plus que rassasiés. Je n'oublie pas non plus la troupe  de danseurs, de musiciens et toutes les personnes qui ont contribué à ce magnifique concert. Peu importe que certains puissent dire qu'elle est trop "commerciale" ou trop dans le "Show à l'américaine", je m'en contre fiche. J'ai passé deux heures inoubliables face à une performeuse et surtout une femme qui m'a laissé sans voix.

En bonus, voici une vidéo amateur de sa prestation sur Alejandro :
 

Mardi 27 avril 2010 à 22:34

Glee est une nouvelle série télévisée américaine produite par Ryan Murphy depuis 2009. Elle suit le quotidien d'un groupe de lycéens faisant partie de la chorale de leur établissement. Le chant est donc de mise dans cette série que l'on peut qualifier de Comédie Musicale.

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Will Shuester, professeur d'espagnol au McKinley High School, décide de remettre sur pied le Glee Club (chorale en français. Glee signifiant Joie). Pour cela, il auditionne diverses lycéens qui s'avèrent être aussi bon en chant que désespérés dans leurs quotidiens. Nous y trouvons donc :
* Rachel : surdouée en classe et rejetée par ses camarades, elle n'a qu'un but dans la vie : devenir une star.
* Artie : handicapé depuis ses 8 ans, il doit faire face aux épreuves en fauteuil roulant.
* Tina : look punk et décalé, elle est mise à l'écart à cause de son bégayement.
* Kurt : homosexuel et victime de la mode, il tente de se faire une place parmi les autres sans renier qui il est.
* Finn : footballeur et populaire, son quotidien va vite être bouleversé lorsque sa petite amie va lui apprendre qu'elle est enceinte.
* Quinn : Pom-pom girl et petite amie de Finn, elle se voit exclue après que sa grossesse soit connue de tous.
* Mercedes : noire et fière de ses formes, elle apporte une touche Soul au Glee Club.
* Puck : footballeur et meilleur ami de Finn, il est sans scrupule mais au final n'a pas un mauvais fond.

Dans un esprit jovial, Glee nous emmène dans les remous du lycée en tachant d'être plus terre à terre que High School Musical. Les chansons sont variées : des classiques de comédies musicales aux chansons pop de notre génération, la fourchette est plutôt large. Les thèmes abordés concernent un large public et dépassent les mièvreries préadolescentes. Un nouveau coup de cœur à ajouter à ma liste de séries favorites.

Un petit extrait pour vous donner envie ; il s'agit de Kurt qui danse sur Single Ladies, de Beyoncé :


Dimanche 18 avril 2010 à 23:51

Mes vacances ont débuté vendredi après-midi. J'ai devant moi deux semaines pour me vider un peu la tête (même s'il y a encore et toujours des devoirs à faire...). J'ai l'impression de toujours répéter la même chose lorsque je fais un article sur mes vacances. Toujours des "j'vais me reposer" et des "j'espère en profiter pour voir mes amis"... Et bien, j'ai toujours les mêmes pensées donc tant pis pour les répétitions ! ^^

Je suis entrain de réfléchir à l'an prochain. Si j'arrive à obtenir ma licence, j'espère pouvoir entrer en Master Informatique à l'Université de Marne-la-Vallée. Ils y proposent un parcours "Signal, Image et Synthèse" qui n'a pas l'air trop mal. Je n'ai pas encore trouvé ce qui me plaisait concrètement donc je vais continuer dans ce que j'ai appris pour l'instant.

Désolé de ne pas avoir plus de choses à raconter sur moi, mais c'est qu'il n'y a rien de plus à dire ! Encore un article inutile ^^.

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Jeudi 25 mars 2010 à 23:00

Voici LA comédie musicale que j'attendais avec impatience ! Je ne vous cacherais pas que mon enthousiasme venait plus particulièrement de la brochette de stars présentent dans ce film : Marion Cotillard, Penélope Cruz, Nicole Kindman, Sophia Lauren, Fergie et j'en passe...

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Synopsis :

Grand réalisateur italien de son époque, Guido Contini (joué par Daniel Day-Lewis) s'apprête à tourner un nouveau long métrage. Manquant cruellement d'inspiration, celui-ci cherche à s'imprégner des grands amours de sa vie : sa femme, sa mère, sa maîtresse, sa confidente, sa muse et bien d'autres encore. Mais la réalité n'est-elle pas un peu trop complexe pour prendre la distance suffisante afin de la reproduire sur grand écran ? C'est ce à quoi Guido va devoir se confronter durant cet ouragan de prestations glamours et enfiévrées.


Toutes plus flamboyantes et séduisantes les unes que les autres, les actrices de Nine sont le point fort de cette comédie musicale inspirée de celle jouée sur Broadway dans les années 80. Les chorégraphies et  les mises en scènes sont aussi soignées que captivantes. Pour ma part, j'ai particulièrement apprécié celles de Fergie et de Kate Hudson. Même si le fil conducteur de l'histoire manque un peu d'épaisseur, le film de Rob Marshall est un plaisir pour les yeux et les oreilles. Je le conseille aux amoureux des comédies musicales.

Voici la bande annonce :


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