dinendel

Parcelles de vie...

Mercredi 6 août 2008 à 18:01

Roman de Patrick, E=MC², mon amour est pour moi une redécouverte absolue. L'ayant auparavant lu au collège (en 4ème plus précisément), il m'était intriguant de le relire 5 ans plus tard.


Voici le résumé :
Daniel a 11 ans, Lauren presque 12. Lui est issu de la banlieue Parisienne, elle est d'origine américaine et vit dans le 16ème arrondissement. Ces deux enfants à l'allure banale se révèlent être un peu plus avancés que leurs âges ne le prédit. En effet, Daniel possède une grande aisance en cours et se passionne pour le cinéma américain. Quant à Lauren, elle surpasse considérablement ses camarades de classe et s'intéresse amplement aux mathématiques et à la philosophie. Alors que leurs environnements respectifs les séparent, le hasard va faire que ces deux protagonistes vont finir par se recontrer. Cette rencontre contribuera à une idylle naissante prête à tout pour échapper au monde qui les entoure.  Comment avancer dans un monde d'adultes lorsque vous êtes emprisonnés dans un corps d'enfant?


J'ai vraiment accroché à ce roman d'une part pour le contexte et le chemin de l'intrigue et d'autre part pour la personnalité des deux protagonistes. Le cynisme de ces deux enfants face à des adultes peu compréhensifs est excellent. Je pense par la suite acheter Pythagore, je t'adore, la suite des aventures de Daniel et Lauren.

Jeudi 10 juillet 2008 à 16:44

Dans un monde où le superficiel est exagérément mis en avant, je n'ai rien trouvé de mieux  à lire qu'un roman intitulé People or not People. Second livre écrit par Lauren Weisberger (auteur de Le diable s'habille en Prada), celui-ci semblait selon moi être un léger roman d'été afin de me divertir sans prise de tête.

Voici l'idée de départ :
Beth est une jeune New-Yorkaise travaillant dans le monde des finances. Encrée dans son las quotidien où sa vie sentimentale est au point mort, elle décide du jour au lendemain de tout plaquer et de reprendre son destin en main. Epaulée par son oncle Will, elle décroche un job dans une entreprise de communication chargée de préparer diverses soirées mondaines. C'est à cet instant que son quotidien va intégralement être bouleversé : "Emploi du temps surchargé, succession de soirées branchées et mise à nue de sa vie privée". Sa nouvelle vie à Manhattan prend un tel tournant que ses priorités familiales et amicales sont reléguées au second plan. Comment sortir de cette spirale infernale?

Ce livre n'est sans doute pas d'une grande profondeur littéraire mais la lecture y est fluide et je n'ai pas pu me décrocher de cette aventure toute aussi amusante qu'enivrante.  Ce roman est dans la même veine que Le diable s'habille en Prada et est aussi bon que celui-ci. Une appréciable lecture estivale.




Lundi 2 juin 2008 à 19:02

Un titre laissant perplexe pour un très bon livre. En effet le premier roman de la trilogie Millénium écrite par Stieg Larsson se révèle être une histoire mouvementée mêlant "économie, journalisme et piratage informatique" avec "amour, meurtres macabres et disparition".  Un subtile cocktail dont voici le résumé rédigé par les éditeurs :


Ancien rédacteur de Millénium, revue d'investigations sociales et économiques, Mikael Blomkvist est contacté par un gros industriel pour relancer une enquête abandonnée depuis quarante ans. Dans le huis clos d'une île, la petite nièce de Henrik Vanger a disparu, probablement assassinée, et quelqu'un se fait un malin plaisir de le lui rappeler à chacun de ses anniversaires.
Secondé par Lisbeth Salander, jeune femme rebelle et perturbée, placée sous contrôle social mais fouineuse hors pair, Mikael Blomkvist, cassé par un procès en diffamation qu'il vient de perdre, se plonge sans espoir dans les documents cent fois examinés, jusqu'au jour où une intuition lui fait reprendre un dossier.
Régulièrement bousculés par de nouvelles informations, suivant les méandres des haines familiales et des scandales financiers, lancés bientôt dans le monde des tueurs psychopathes, le journaliste tenace et l'écorchée vive vont résoudre l'affaire des fleurs séchées et découvrir ce qu'il faudrait peut-être taire.


Ce roman de près de 600 pages m'a tenu en haleine du début à la fin. L'introduction de ce polar où nous suivons de chacun de leurs côtés Mikael Blomkvist et Lisbeth Salander est assez déroutante mais leur rencontre accentue en un coup de pinceau l'histoire en elle-même. Bref, un bel ouvrage pour une fin des plus attrayantes! Il ne me reste plus qu'à savourer les deux prochains tomes de la saga!

Samedi 27 octobre 2007 à 23:30

Carrie est le tout premier roman publié en  1974 par le célèbre auteur fantastique Stephen King.


Ce livre retrace l'histoire d'une adolescente de 17 ans nommée Carrietta White. Cette jeune fille a pour principal trait de caractère d'être timide et d'avoir peu d'amis. Elevée par une mère fanatico religieuse, elle ne jure que par Dieu et est privée de tout activité qu'une fille de son âge peut avoir. L'action de Carrie débute lorsque celle-ci se retrouve dans le vestiaire de sport pleurnichant en ayant ses premières règles. L'incompréhension et l'angoisse l'envahissent tandis que les autres filles lui hurlent dessus diversent injures tout en lui jetant des serviettes hygiéniques au visage. C'est à partir de cet instant que sa vie va réellement être bouleversée. Elle va en effet se rendre compte qu'elle possède des pouvoirs de télékinésie. La roue tourne puisqu'elle a la possibilité de contrôler ce qu'elle désire par la simple action de son esprit : faire léviter diverses objets, neutraliser sa mère face à ses fréquentes violences, se venger des autres... La scène du bal de printemps fera monter à son paroxisme le pouvoir de Carrie, couverte de sang de porc après une farce,  face à tous ces
visages moqueurs...


J'ai beaucoup apprécié ce roman tout d'abord parce que de nombreux adolescents peuvent se mettre à la place de cette pauvre fille et d'autre part grâce au style d'écriture de l'auteur : Stephen King relate les faits du dossier "Carrie White" à travers divers articles de journaux ou de dépositions des quelques survivants... Pour ceux qui n'ont pas vu le film ou même pour ceux qui l'ont vu, peut importe, vous pouvez donc vous plonger dans ce livre, car, la tension ne redescent jamais!

Jeudi 28 juin 2007 à 11:32

Les mésaventures des orphelins Baudelaire, suite de livres écrits par Lemony Snicket, prennent fin dans ce treizième et dernier opus intitulé tout bonnement La fin.
J'ai fini le roman il y a peu de temps et mon impression est plutôt bonne pour cette conclusion.

Les enfants, Violette l'ainée, Klaus le cadet, et Prunille la benjamine naufragent sur une île habitée par des gens assez étonnant prônant un retour au calme et à la paix, ce que n'offre pas le monde actif. Comme à son habitude, le comte Olaf pourchasse encore et toujours les orphelins mais dans ce tome, que ce soit lui ou les enfants, les deux seront exclus de l'île pour manquement aux règles de Ishmaël, le facilitateur des lieux. Les péripéties continuèrent pour ne pas dire s'aggravèrent par la suite avec une chasse contre un champignon mortel, un abandon des îliens qui quittent leurs terres, un accouchement ainsi que deux enterrements.

Bref, même si ce chapitre est le dernier, la vie des orphelins continue puisque comme le dit l'auteur : "rien ne finit jamais".

<< Page précédente | 1 | 2 | 3 | Page suivante >>

Créer un podcast